Alors ouais, j’me la raconte, ouais, ouais, je déconne…

Une limousine rue Cabana… hé oui, devant chez moi en plus ! Faut que je vous raconte ça…


Avec un peu de retard, elle arrive enfin : une limousine blanche, une bonne demi-douzaine de mètres peut-être. Le chauffeur nous ouvre la porte, grosse bouffée d’air frais. L’intérieur est encore plus impressionnant. Banquette en cuir 8 places, lumières tamisées, miroirs au plafond, mini-bar et verres assortis, champagne dans le seau… auquel nous n’avons même pas osé toucher, trop impressionnés je crois (c’est pas grave, on a eu la bouteille une fois arrivés au Living).
On voit vraiment les choses différemment de la dedans ! Seul regret, les vitres teintées. On ne pouvait même pas se la raconter auprès des gens qui nous regardaient, il ne nous voyaient pas !
Je devrais avoir des photos très prochainement.
Petit repas sur la terrasse du Living donc ensuite, et la limousine nous dépose au Parc Jacques Cartier juste à l’heure pour le feu d’artifice du soir. La c’est la classe. Arrivée en pleine heure de pointe, entre le Caffucino et le resto d’en face, devant tout le monde ! Le plus drôle : la maman et ses deux petites filles qui s’arrêtent auprès de la voiture, s’attendant certainement à voir sortir une personnalité genre Garou ou Tom Cruise… et qui découvre 5 jeunes sur le party !

— Fin du Mode Jemelapèteparcequejailaclasse —


Donc exceptionnellement, j’ai raté le concert d’Anick Jean. Dommage, c’était le plus intéressant de la journée mais on ne peut pas tout avoir.
Le feu d’artifice ? Mouais… Non, honnêtement, c’était superbe. Mais je crois que je commence à être blasé ! Et le fait que ce soit un concours donne une autre vision, plus critique, comparative. Disons qu’il était peut-être plus monotone que celui de la veille. Mais la mise en scène plus originale. Présenté par les Acadiens du Nouveau Brunswick et composé en hommage aux victimes Cajuns de l’ouragan Katrina qui avait dévasté la Louisiane, terre d’accueil francophone, il a relevé le défi de s’accorder à des musiques rythmées et chantées. Encore des nouveautés d’ailleurs, comme le feu qui explose en forme de coeur ! Mais où s’arrêteront-ils ? 

Petit tour ensuite par la fête foraine où, relevant un défi, je me suis ridiculisé au jeu du marteau… on passe si vous voulez bien !

Puis fin du concert de Marie-Chantal Toupin. Star de la variété rock au Québec, qui m’a fait penser à la fois à Patricia Kass et Jenifer, à la musique assez peu originale mais pas désagréable. Dont l’énergie et la complicité avec ses musiciens sur scène parvient à entraîner les foules. Vraiment impressionnant le « On prend la terre pour une poubelle, maudit bordel » repris en coeur par les milliers de spectateurs encore présents à minuit.

Et bien sur, je continue ce soir, avec un légende de la chanson Québécoise… Robert Charlebois ! Mais sans limousine cette fois.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *