J’avais promis de vous parler des machines à laver. Pourquoi ? Après tout pourquoi ne serait-ce pas les mêmes qu’en France ?
Bonne question… mais vous comprendrez mieux en lisant l’article suivant, honteusement plagié sur le très sympathique blog Aurélie au Canada qui nous conte les (més)aventures et anecdotes d’une française expatriée à Montreal. Si vous avez un peu de temps, n’hésitez pas, c’est très agréable à lire !
Je récapitule…
Prenez une bonne vieille machine française… vous avez un tambour, et ce tambour tourne, brassant votre linge.
Prenez une s- -l-p-rie de machine québécoise : vous avez une cuve avec au milieu un mat à hélices qui fait tourner votre linge dans la cuve laquelle est elle-même totalement immobile. Le principe est simple et le résultat l’est tout autant : les hélices déchirent les fibres du linge et les vêtements s’entortillent autour du mat !!
En conséquence, les tee-shirts sont tout boulochés et détendus et les petites culottes n’ont plus d’élastique car celui-ci finit sa carrière enroulé autour dudit mat…
Je vous le dis : les lave-linge québécois NE SONT PAS NOS AMIS!!!
Crisse ! J’allais oublier de préciser deux choses à propos des machines-à-laver-québécoises-qui-ne-sont-pas-nos-amies :
1/ Il n’y a pas de compartiment pour la lessive, l’adoucissant, l’eau de javel, etc. Il faut les mettre directement dans la cuve. Ceci implique :
– d’attendre que celle-ci se remplisse d’eau pour pouvoir mettre la lessive ;
– d’attendre que la lumière « rinçage » s’allume pour mettre l’adoucissant.
C’est-à-dire, en résumé, de faire le pied de grue près de la machine pendant TOUTE la durée de la lessive.
2/ Ca ne lave pas, mais alors, pas du tout. ll faut dire que le cycle entier lavage-rinçage-essorage dure moins de 30 minutes alors…
Le problème c’est qu’il fait chaud dans cette ville, donc on transpire, donc on pue, donc les tee-shirts puent. Eh bien ils puent autant après qu’avant la lessive… Un vrai bonheur!
ET DIRE QUE CA ME COUTE 1,50$ A CHAQUE FOIS!!!!!
C’est tellement vrai… sauf que moi c’est 1$