Après une nouvelle fin de semaine à Montréal (photos prochainement), voici un sujet dont je me devais de vous parler depuis un moment :
Montréal, ou la ville où il faut un doctorat en signalisation routière pour se stationner.
Alors là j’entends déjà les critiques, je suis sur que tu exagères, nanani nananère… Maudits français ! La preuve par l’image :
Et encore, je n’ai pas choisi les pires ! Car sur ceux-ci il n’y a pas de restrictions du genre « du 1er avril au 1er décembre »…
Le journal Métro a même consacré un article complet à ce problème le mois dernier. Je cite : « il n’est pas inhabituel de voir une demi-douzaine d’indications apparemment contradictoires à l’intérieur d’un même coin de rue. »
Allez, juste pour le plaisir, un petit aperçu des feux tricolores… comme quoi c’est pas plus facile de circuler !
Vous pourrez les trouver avant ou après le carrefour, clignotant vert ou rouge, verticaux ou horizontaux, avec ou sans feux piétons…
C’est vraiment inteeense de conduire à Montréal, les feux rouges que mon père a grillé s’en souviennent !
(intense est le mot à la mode ici, comme énorme en France )